Benutzer:Chief tin cloud/Amédée Bollée (Automobilhersteller) Erweiterung

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 Info: Amédée Bollée (Automobilhersteller) existiert. Umfangreiches Thema.

Dieser Artikel behandelt die Dampfwagenproduktion von Amédée-Ernest Bollée (Amédée Bollée père Amédée Bollée war ein französischer Hersteller von Automobilen.

Unternehmensgeschichte[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Amédée Bollée war der älteste der drei Söhne des Unternehmers und Erfinders Ernest-Sylvain Bollée (1814–1891). Dieser war ein hoch angesehener Glockengießer, der den Wandel von der Störgeherei zur Metallgießerei in einer Fabrik vollzog, was durch bessere Transportwege für die schweren Glocken ermöglicht wurde. Er entwickelte neue Produktionsverfahren und erfand eine Hydraulische Ramme sowie eine Éolienne Bollée genannte, vom Wind betriebene Pumpe. Beides wurde selber hergestellt und vermarktet. Hauptabnehmer für die Pumpen waren Kommunalverwaltungen, die sie zur Wasserversorgung nutzten. Nach einer Erkrankung des Vaters begannen die Söhne ab den 1860er Jahren, zunehmend Verantwortung im Betrieb zu übernehmen.[1]

Der Perfektionist und Tüftler Amédée verbesserte betriebliche Arbeitsabläufe und verfeinerte die Gusstechnik. Das Unternehmen in Le Mans genoss internationales Ansehen, als Amédée an der Weltausstellung 1867 in Paris erstmals einen Dampfwagen sah und davon fasziniert war. Seine erste Konstruktion nahm er um 1870 in Angriff. Sie dürfte in der gleichen Betriebswerkstätte entstanden sein, wo bereits Ernest-Sylvain an seinen Erfindungen gearbeitet hatte.

Das Unternehmen wurde zunächst para

Das Unternehmen von Amédée Bollée (* 1844; † 1917) aus Le Mans begann 1873 als erster mit der Produktion von Dampf-Automobilen und gilt als er. Der Markenname lautete Amédée Bollée.

erregte zwar beträchtliche Aufmerksamkeit in Paris, Bestellungen manifestierten sich jedoch nicht direkt. Es kam zu einer Zusammenarbeit mit dem Gießereibesitzer Dalifol zwecks Herstellung einer Straßenbahn

Dampfwagen[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

1873 L'Obéissante[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

L'Obéissante

Zwei V2-Motoren leisteten zusammen 20 PS.[2] Trotz des hohen Gewichtes von 4000 kg betrug die Höchstgeschwindigkeit 42 km/h.[2]

dès 1873, d'une audace et d'un modernisme inaccoutumés, instaurant certains principes techniques essentiels à partir desquels émanera toute l'industrie automobile future.

Amédée Bollée peut enfin se consacrer, dans l'atelier de mécanique de la fonderie familiale, à l'assemblage de son premier véhicule, un break à 12 places couvert en tapissière.

Das Fahrzeug besaß eine Schwingachse mit Parallelfederung sowie vordere Einzelradaufhängung. Jedes der beiden Hinterräder wurde von einer separaten Maschine angetrieben, womit Bollée den Einbau eines Differentials vermied. Über zweieinhalb Jahre testete Amédée Bollée seinen Dampfwagen, bevor er ihn in Paris der Öffentlichkeit vorstellte. Die 230 Kilometer zur Hauptstadt legte er in 18 Stunden zurück.

Mais en visitant l'Exposition Universelle de Paris en 1867, la vue d'un véhicule à vapeur suscite chez le jeune homme une nouvelle vocation, la construction d'automobiles. Après la fabrication d'armes pendant la guerre franco-prussienne de 1870, Amédée Bollée peut enfin se consacrer, dans l'atelier de mécanique de la fonderie familiale, à l'assemblage de son premier véhicule, un break à 12 places couvert en tapissière. La production automobile est encore particulièrement restreinte en France et dans le monde, mais avec cette première réalisation, Amédée Bollée fait preuve, dès 1873, d'une audace et d'un modernisme inaccoutumés, instaurant certains principes techniques essentiels à partir desquels émanera toute l'industrie automobile future.

gaz C'est une effervescence sans précédent qui règne dans la capitale en ce mois d'octobre 1875. «L'Obéissante», break de chasse à vapeur, construit et piloté par Amédée Bollée, est au centre de toutes les discussions depuis son exhibition devant des parisiens médusés par son étonnante maniabilité et surtout... son silence de fonctionnement. Même les chevaux, d'ordinaire effrayés par le bruit des quelques véhicules à vapeur et autres tramways déjà en circulation, ne bougent absolument pas lors de son passage. Et le Préfet de police de Paris en personne, pourtant hostile aux véhicules automobiles, se montre particulièrement convaincu après quelques kilomètres parcourus à son bord sur les boulevards parisiens. Pari gagné pour Amédée, fils d'Ernest Sylvain Bollée, fondeur de cloches ambulant qui voyageait de ville en ville au gré de ses commandes.

[1] [3]

C'est le cas par exemple de la direction pour laquelle Amédée Bollée renvoie aux calendes grecques toutes les solution existantes. Il développe et dépose un brevet pour un système très élaboré pour l'époque puisqu'il est constitué, pour la première fois, de deux roues AV directrices qui pivotent aux extrémités d'un essieu fixe mais dont l'orientation de chacune varie en fonction de la courbe à effectuer. De ce fait, les roues directrices restent, en permanence, tangentes aux cercles parcourus par leurs points de contact avec le sol. C'est-à-dire que pour un angle affiché par le volant de direction, chacune des roues s'oriente d'un angle différent de l'autre, ce que l'on appelle une direction géométriquement exacte. Le véhicule est ainsi plus stable et surtout beaucoup plus maniable. Outre cette direction, Amédée Bollée innove dans de nombreux domaines comme son ébauche de suspension indépendante composée de dix longs et souples ressorts à lames, ou encore le regroupement autour d'un véritable volant de tous les organes de commande. Coté motorisation, l'Obéissante est animée par deux moteurs bicylindriques en V de 20 HP chacun placés au centre du véhicule, sous le plancher, et d'une chaudière située à l'arrière. Accusant tout de même un poids de 4,800 t, l'Obéissante roule sans peine à 15 km/h de moyenne et peut atteindre la vitesse folle de... 40 km/h, pour une autonomie d'environ 25 km. Mais au-delà de cette incroyable vitesse pour l'époque, c'est le silence de fonctionnement et la maniabilité de la voiture qui retiennent tout particulièrement l'attention des nombreux spectateurs.

Das Fahrzeug ist im Musée des arts et métiers in Paris ausgestellt.

1878 La Mancelle und L'Avant-Courrière[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

La Mancelle

1878 entwarf Amédée Bollée das Modell Mancelle, von dem 50 Exemplare gebaut wurden, weshalb Mancelle auch als erstes Serienauto betrachtet wird.[4] Dieses Fahrzeug war als Sechssitzer konzipiert und konnte mit einem offenen Aufbau als Kalesche oder halboffen als postchaise bestellt werden; letztere ähnelte dem späteren Landaulet. [3]

Rare brochure introducing Bollee's steam-car in Germanay. 8vo., old-style marbled boards, 27 pp., 1 folding plate, depicting Bollee's "la Mancelle" steam car. Amedee Bollee Sr. was the most remarkable of the steam-car pioneers. Heir to a bell foundry at Le Mans, he added mechanical workshops and built a series of advanced-design vehicles from 1873 to 1883. There was nothing particularly new or refined in his steam power systems, but his sense of vehicle architecture was superb. La Mancelle, built in 1878, had a front-mounted engine, shaft drive to the differential, chain drive to the rear wheels, steering wheel on a vertical shaft and driver's seat behind the engine. The boiler was carried behind the passenger compartment. N° de ref. de la librería [5]

http://www.iberlibro.com/Neue-dampf--fortbewegungs--Sytem-Erfunden-Amadeus/740374074/bd (geht nicht)
http://www.iberlibro.com/servlet/SearchResults?an=%28BOLLEE%2C+A.%29&cm_sp=det-_-bdp-_-author (geht nicht)

Replicas of La Mancelle, with either caleche or postchaise bodywork, were offered and at least one was built; so, too, were two larger tractors built on the same lines but with the added feature of a power take-off which drove the wheels of the tender.

This was a six-seater steam carriage, available with either celecbe or postchaise bodywork, and was powered by a front- mounted, vertical-twin-cylinder engine-probably 'the first bonneted, tront-engined vehicle. The main feature, which was years ahead of its time" was the independent suspension.

[3]

Wellenantrieb bis Getriebe, Ketten bis hinterachse?

Angespornt durch diesen Erfolg, baute er 1878 in kleiner Serie ein neues Dampfautomobil mit dem Namen "la Mancelle". Dieser Wagen war noch in Kutschenform gehalten und wog 2750 kg. Die Wahl einer vom Kutschenbau abgeleiteten Karosserie führte zur Längsanordnung von Motor und Kraftübertragung samt Differenzial und Achsantrieb. In einer späteren Variante verwendete Bollée sogar eine Lösung mit am Motor angeflanschtem Schaltgetriebe. Auch hinsichtlich der Aufhängung mit übereinanderliegenden Blattfedern erwies er sich als Pionier. Das sechs Passagiere plus Fahrer aufnehmende Dampfautomobil erreichte bei 10 PS Leistung eine Geschwindigkeit von 35 km/h und konnte selbst an einer fünfprozentigen Steigung problemlos anfahren. Die Dampfmaschine, als senkrechter Zweizylinder konzipiert, leistete 15 PS und war an der Frontseite des etwa 40 km/h schnellen Fahrzeugs angebracht. Der Antrieb erfolgte über ein Differential, das auf die hinteren Räder wirkte. Die Ausführung dieses Dampfwagens lag in den Händen seines Sohnes, der ebenfalls den Namen Amédée trug. Sein Bruder Léon Bollée baute ebenfalls Motorfahrzeuge und gründete 1895 in Le Mans eine Automobilfirma.

Amédée Bollée demonstrierte noch 1878 La Mancelle in Wien.[6] Aufträge resultierten nicht, doch ergaben sich Kontakte ins Deutsche Kaiserreich und insbesondere nach Preußen.

Les Grands Promoteurs

« La Mancelle » à Vienne

En 1878, Amédée Bollée père prit une addition à son breA'el de 1873 et construisit une Aroiture plus légère que la précédente, aiï'eclant une forme de Victoria, qui fut appelée la Mancelle. Elle était de beaucoup plus simple que l'Obéissante et comportait de nouveaux dispositifs, notamment en ce qui touchait la mise en marche et le mécanisme de la direction. Elle présentait les caractéristiques de la disposition mécanique des voitures modernes : moteur vertical à VaAant, transmission longitudinale attaquant le différentiel par engrenages coniques, chaînes, tendeurs de chaînes, etc. Après avoir fait figurer sa nouvelle Aroiture à l'Exposition de 1878, le célèbre inventeur, ayant assuré la protection de ses droits en Autriche

par un brevet général couvrant toutes ses créations précédentes, présentait la Mancelle à Vienne l'année suiAranle.

Le A7éhicule obtint sur les bords du Danube un extraordinaire succès : tous les journaux en parlèrent, les publications illustrées en donnèrent des dessins, même des caricatures.

M. d'Ofenheim, représentant de Bollée à Vienne, devint, du coup, une personnalité populaire; et les marchands de jouets vendirent à profusion des petites machines à vapeur reproduisant en miniature l'extraordinaire engin proposé à la curiosité des Viennois.[6]

Wöhlert

Ein Originalexemplar befand sich 2002 im Musée national de la Voiture in Compiègne,[4] ein weiteres befindet sich im Musée de l'Automobile de la Sarthe in Le Mans.

«L'Avant-Courrière», une copie de la Mancelle équipée d'un moteur de 30 HP. Il s'agit d'un omnibus commandé par la Compagnie des Eaux de Lacaune qui, avant d'être livré, fait un nouveau voyage de démonstration dans la capitale. Dans le même temps, Amédée Bollée construit

1879 Marie-Anne und Elisabeth[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Die öffentlichen Vorführungen von L'Obéissante and La Mancelle führten zu einer Vielzahl von Bestellungen, und Amédée akzeptierte auch eine für einen Straßenzug, den er 1879 vollendete.[7] Mit 100 PS hatte Marie-Anne eine Dreiggangschaltung und war imstande, 35 Tonnen eine 6%ige Steigung hochzuziehen[7]. Marie-Anne war ähnlich gebaut wie La Mancelle.[7] Ein Tender transportierte einen Vorrat an Kohle und Wasser.[7] Innovativ war die Möglichkeit, auch den Tender mittels einer zusätzlichen Kraftübertragung mit der Dampfmaschine anzutreiben.[3]

Zwei Exemplare dieses Typs wurden fertiggestellt.[3] Das zweite erhielt den Namen Élisabeth und wurde vom Ingenieur le Cordier auf dessen mitgenommen.[1]

[8] [1] [3] [5]

1880 La Nouvelle[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Dies war ein Omnibus.[9] Das Fahrzeug wurde 1895 beim Autorennen Paris–Bordeaux eingesetzt.[9]

Dies war wahrscheinlich das erste ganz geschlossene Automobil der Geschichte. Es wurde auch als "Omnibus (Automobilbauform) bezeichnet, ohne dass es für einen Linienverkehr gedacht war. La Nouvelle konnte 6 Personen mitführen. mit 9 Sitzen. Das Fahrzeug basierte auf dem überarbeiteten Fahrgestell der La Mancelle wurde noch 1895, also 15 Jahre nach seiner Fertigstellung, beim Autorennen Paris–Bordeaux eingesetzt, wo es neuntes und letztes von 24 gestarteten Fahrzeugen ins Ziel kam. Zwei zweisitzige Benzinfahrzeuge wurden wegen der Nichteinhaltung des Reglements (mibndestens 4 Sitze) relegiert, sodass der Dampfwagen DDB

Dampfkonkurrenten von Serpollet.[9]

Dans le même temps, Amédée Bollée construit «La Nouvelle», une conduite intérieure (très certainement la première au monde) à six places pesant 3,200 t, animée par un moteur à deux cylindres horizontaux qui permet d'atteindre la vitesse de 45 km/h. La suspension est celle de la Mancelle, mais de nombreuses améliorations ont été apportées, facilitant ainsi son utilisation, avec notamment une autonomie augmentée à 60 km. Au mois de juin 1895, soit 15 années plus tard, cette voiture participera à la course Paris-Bordeaux-Paris et sera équipée pour l'occasion de l'ancêtre des «road-book» actuel. Sous forme d'une bande, ce road-book se déroulait, entraîné par une roue, et dévoilait le profil du parcours, permettant au conducteur d'anticiper les côtes nécessitant plus de production de vapeur, mais également de connaître les points de ravitaillement en eaux et combustibles. Il s'avère qu'à l'origine, cette voiture avait été commandée par le père d'Amédée Bollée qui lui évitait ainsi une probable faillite.

gazoline

1881 La Rapide[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

La Rapide („die Schnelle“) wurde 1881 konstruiert und erreichte 58 km/h.[10] Beim La Rapide waren Dampfmaschine und Kontrollinstrumente vorne konzentriert, so dass er von einem einzelnen Mann geführt werden konnte.[10]

Das offene Fahrzeug war für sechs Personen ausgelegt.[1]

1883(?) Julia[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

En même temps que la fabrication des Rapides, Amédée Bollée se replie sur les véhicules utilitaires et construit un nouveau tracteur et ses wagons, la «Julia», destinés au propriétaire d'une carrière située dans la Sarthe.

[11]

1885 Mail-Coach Broc[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Avant de poursuivre en 1885 avec un Mail-coach commandé par le Marquis de Broc qui obtiendra une autorisation de circuler avec ce véhicule, mais uniquement entre son domicile sarthois et son château situé à Clefs, une petite commune entre Angers et Tours. Ce Mail-coach sera cependant la dernière réalisation d'Amédée Bollée qui, usé par les événements et les déboires commerciaux de ces dernières années, préfère jeter l'éponge pour n'assurer que la direction de la fonderie. Après avoir travaillé sur l'acoustique des cloches et les carillons électriques, il s'éteindra, vaincu par la maladie, le 20 janvier 1917, à l'âge de 73 ans.

[11]

Amédée Bollée Dampfwagen heute[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Mindestens zwei Fahrzeuge sind erhalten geblieben: L'Obéissante im Musée des arts et métiers in Paris und eine La Mancelle im Musée National de la Voiture et du Tourisme in Compiègne und im Musée Henri Malartre in Rochetaillée-sur-Saône zu besichtigen.

Literatur[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

  • Harald H. Linz, Halwart Schrader: Die Internationale Automobil-Enzyklopädie. United Soft Media Verlag, München 2008, ISBN 978-3-8032-9876-8.
  • George Nicholas Georgano (Hrsg.): The Beaulieu Encyclopedia of the Automobile. Band 1: A–F. Fitzroy Dearborn Publishers, Chicago 2001, ISBN 1-57958-293-1, S. 47–48 (englisch).
  • George Nicholas Georgano: The New Encyclopedia of Motorcars. 1885 to the Present. E. P. Dutton, New York 1982, ISBN 0-525-93254-2 (englisch).
  • Richard v. Frankenberg, Marco Matteucci: Geschichte des Automobils. Sigloch Service Edition, STIG Torino 1973.
  • Hans-Otto Neubauer (Herausgeber): Chronik des Automobils. Chronik Verlag im Bertelsmann Lexikon Verlag, Gütersloh/München 1994, ISBN 3-570-14338-4.
  • Jacques Rousseau, Jean-Paul Caron: Guide de l'automobile française. Éditions Solar, Paris 1988, ISBN 2-263-01105-6 (französisch).
  • Pierre Lemoine (Herausgeber), Jean-Claude Delerm: Das Automobilmuseum zu Mülhausen - Sammlung Schlumpf. Fondation BNP Paribas Réunion des Musées Nationaux, 2006, ISBN 2-297333-68-2.
  • Hans Christoph von Seherr-Thoss: Die deutsche Automobilindustrie. Eine Dokumentation von 1886 bis heute. Deutsche Verlags-Anstalt, Stuttgart 1974, ISBN 3-421-02284-4.
  • Halwart Schrader (Herausgeber): Motor Men: Menschen, Mythen und Motoren der Automobilgeschichte. 1. Auflage. Motorbuch Verlag, Stuttgart 2011, ISBN 978-3-613-03202-6.
  • Richard J. Evans: Steam Cars (Shire Album). Shire Publications, 1985, ISBN 0852637748 (englisch).
  • Anthony Bird, Edward Douglas-Scott Montagu of Beaulieu: Steam Cars, 1770–1970. Littlehampton Book Services, 1971, ISBN 030493707X (englisch).
  • Floyd Clymer, Harry W. Gahagan: Floyd Clymer's Steam Car Scrapbook. Literary Licensing, 2012, ISBN 978-1258426996 (englisch).
  • John Heafield Bacon: American Steam-Car Pioneers: A Scrapbook. Newcomen Society of the United States, 1. Auflage, 1984, ISBN 9994065904 (englisch).
  • H. Walter Staner: The early days of motors and motor-driving - steam cars. Lightning Source UK, Milton Keynes, ISBN 978-14455-2487-0; undatierter Nachdruck einer Anleitung zum Betrieb von Dampfwagen vom Herausgeber der Fachzeitung Autocar, etwa 1900 (englisch).

Weblinks[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Commons: Amédée Bollée – Sammlung von Bildern, Videos und Audiodateien
  • Eric Favre: Bollée (Amédée), à toute vapeur! (französisch) (Memento vom 15. August 2018 im Internet Archive)
  • Bollée Auf uniquecarsandparts.com (englisch).

Einzelnachweise[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

  1. a b c d e Eric Favre: Bollée (Amédée), à toute vapeur! (französisch) (Memento vom 15. August 2018 im Internet Archive)
  2. a b 1873. " L'Obéissante " d'Amédée Bollée père (France) Auf users.skynet.be, abgerufen am 1. Mai 2015 (französisch).
  3. a b c d e f Bollée Auf uniquecarsandparts.com, abgerufen am 27. März 2021 (englisch).
  4. a b 1878. Victoria à vapeur " La Mancelle " d'Amédée Bollée père (France) Auf users.skynet.be, abgerufen am 1. Mai 2015 (französisch).
  5. a b iberlibro.com: Neues Dampf-Fortbewegungs-System Erfunden (Prospekt, Berlin 1880) (geht nicht)
  6. a b Pierre Souvestre: Histoire de l’automobile S. 132. Auf gallica.bnf.fr, abgerufen am 27. März 2021 (französisch).
  7. a b c d 1879. Locomotive routière " La Marie-Anne " d'Amédée Bollée père (France) Auf users.skynet.be, abgerufen am 2. Mai 2015 (französisch).
  8. Aktie der F. Wöhlert’schen Maschinenbau-Anstalt und Eisengiesserei AG Auf gutowski.de, abgerufen am 27. März 2021.
  9. a b c 1880. Omnibus léger " La Nouvelle " d'Amédée Bollée père (France) Auf users.skynet.be, abgerufen am 1. Mai 2015 (französisch).
  10. a b 1881. Voiture à vapeur " La Rapide " d'Amédée Bollée père (France) Auf users.skynet.be, abgerufen am 1. Mai 2015 (französisch).
  11. a b kein Weblink gazoline AEB